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 Lawrence Fear - NYPD

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AuteurMessage
Lawrence Fear
Inspecteur / Détective privé
Inspecteur / Détective privé
Lawrence Fear
Age : 65


Fiche du Personnage
Humeur:
Secret: Chut !
Lawrence Fear - NYPD _
MessageSujet: Lawrence Fear - NYPD   Lawrence Fear - NYPD Icon_minitimeSam 28 Sep - 20:40





Dossier de Lawrence Fear


feat. Daniel Auteuil


Identité


Date de naissance: 06 Aout 1958.
Lieu de Naissance : Washington.
Situation Familiale : Parents décédés .
Handicap ou soucis de santé : Dépressif, cardiaque, faible épilepsie décelée, alcoolique.
Groupe Sanguin : O +.
Signes Particuliers : Démarche chancelante, teint pâle, ton bourru, nez de boxeur, mal coiffé, mal rasé, lunettes teintées.

Profil Psychologique : Le dossier "Fear" décrit Lawrence comme un agent de terrain vif et expert, efficace et prometteur. Du moins dans les premières lignes. Bien que les capacités précédentes ne semblent pas avoir été altérées avec l'âge et les événements, des dégradations psychologiques ont été examinées. Le dossier parle d'un accident, d'une faute professionnelle et d'un choc émotionnel. Par la suite sont mentionnés tout un tas d’adjectifs plus ou moins flatteurs tels que "instable, imprévisible, impulsif, grossier, brutal, immoral, froid, distant, sous tension, désagréable. Dépressif, alcoolique, agressif". Une note, à la fin, fait mention d'un bon élément, bien que regrettablement changé par divers événements. "Essentiel à la brigade criminelle, en tant qu'enquêteur ou formateur."

Description Physique: 80 kilos pour 1 mètre 72. Lawrence est un homme à la carrure plutôt imposante et bien portante, malgré une cinquantaine grisonnante et une apparence non entretenue. Son teint est pâle voire maladif, ses joues sont creusées et ses traits fatigués, durs et sévères. Son regard froid et ses attitudes distantes l’entourent d'une réputation malsaine et odieuse. Boitant, ses mouvements sont imprévisibles autant par les autres que par lui-même. Très souvent saoul, il ne se rend compte de rien et dégrade la majeur partie de tout ce qu'il peut avoir entre les mains. Habituellement vêtu de son imperméable sombre, ses vêtements restent sobres et font de lui un personnage noir et mystérieux.

Background


Histoire: (Thème de la lecture)

Lawrence Fear est né à Washington DC en été 1958. Ses parents, Brandon et Lyly Fear, étaient un riche couple d’affaires. Il vécut toute son enfance dans un véritable palace, leur résidence familiale, éduqué par sa nourrice Blanche Poulin, une française d’origines. Il grandit vite et bien, jamais malade et toujours admirablement énergique. Ses parents, qu’il voyait peu, étaient le centre de son univers, il rêvait de suivre leur voie. De fait, il était destiné à reprendre les affaires lorsqu’il serait adulte.
Mais les choses ne se passèrent pas comme prévu. Un matin d’automne, alors que Brandon et Lyly profitaient d’un congé pour passer le weekend avec leur fils, ils furent assassinés. Des hommes armés avaient pénétré leur maison à l’aube, il s’agissait d’une infiltration. Ils avaient parcouru la demeure jusqu’à trouver la chambre du couple Fear, et avaient vidé leurs chargeurs sur leur corps endormi.
Blanche, qui s’était alors réveillée dans une pièce adjacente, couru dans la chambre de Lawrence, le prit dans ses bras, et fit bouclier pour sauver le fils Fear. Elle fut abattue avec le même sang-froid. Son corps recouvrit celui du garçon alors apeuré, qui ne put s’empêcher de pleurer.
L’un des malfrats, qui devait être le chef de l’opération, s’approcha du corps inanimé de la nourrice, le repoussa du pied et pointa le canon de son fusil d’assaut en direction du visage du petit Lawrence. Plusieurs secondes passèrent sans que l’homme ne se décide à faire feu. Il baissa son arme et ordonna à ses hommes de partir.
Lawrence n’eut la vie sauve que grâce à la pitié de cet homme en noir, dont le regard resta à jamais figé dans son esprit.

Durant les années qui suivirent, le groupe Fear fut renommé le groupe Crosvà, alors reprit par la famille éponyme. Lawrence, quant à lui, intégra un orphelinat en bordure de la ville, et continua ses études. Quand il eut 16 ans, il commença à travailler dans un établissement d’arts, avant de devenir deux ans plus tard conservateur dans un musée d’arts contemporains. Ce n’est pas ce qu’il avait voulu, mais c’est ce qui lui permit de gagner en indépendance, bien qu’il logea encore dans l’orphelinat, y travaillant aussi comme surveillant. Le jour même de l’anniversaire de sa majorité, alors qu’il ne put le fêter ailleurs qu’au musée, un attentat à la bombe souffla le hall. Il s’y trouvait justement, et fut grièvement blessé à la tête. Il passa les deux prochains mois dans le coma, et les trois suivants à l’hôpital, service neurologie. Une épilepsie sévère fut alors décelée, conséquence du choc vécu. Il ne put sortir que lorsque la maladie diminua en intensité, et qu’il en fut jugé apte. Il perdit son travail, et sa place fut prise à l’orphelinat. Il n’eut d’autre choix alors que de vivre dans la rue. Il n’avait que 18 ans …

Une nuit, Lawrence se réveilla tremblant, en sueur. Il avait encore fait ce cauchemar … Le même depuis des mois. Voilà 1 an qu’il avait passé sous les ponts, 1 an qu’il souffrait en silence, recueillit par un groupe de sans domiciles fixes, devenu sa nouvelle famille. Emrish Pool, le doyen du groupe, était à ses côtés lors de son réveil. Il l’aida à se calmer, à respirer fort et à reprendre ses esprits. Il se pencha alors au-dessus de lui, et lui murmura à l’oreille des mots qu’il n’oubliera jamais, mais qu’il n’aura jamais répété. Le lendemain, Lawrence fit ses adieux au groupe, et regagna le Centre-Ville. Après être passé au bureau d’une association qui l’avait aidé avec sa famille des rues cette dernière année, on l’aida à se rendre présentable, on lui prêta des vêtements et lui donna une liasse de billets. Il se rendit le même jour sur les lieux qui bouleversèrent son enfance. Sa maison familiale, alors restaurée en bureaux, était devenu un centre policier spécialisé en criminologie. Il décida d’entrer, la mort au cœur, les larmes aux yeux. George Miller, un enquêteur de la criminelle, le fit rentrer et écouta son histoire. Cet homme d’une grande bonté accepta de lui faire visiter le centre, puis lui fit une proposition. Celle de devenir son tuteur. Sans très longtemps hésiter, Lawrence accepta.

George, qui était devenu un père pour Lawrence, lui confia des années plus tard qu’il fut lui aussi victime d’une telle atrocité, durant la guerre. Lui-même orphelin, il avait été tout aussi touché par l’histoire du jeune Fear. C’est ainsi qu’il lui avoua pourquoi il l’avait recueilli 4 ans plus tôt et finança ses études dans la police.
Lawrence sortait en effet de 4 ans d’études et venait d’être lâché sur le terrain, avec George comme formateur. A 23 ans, le jeune Fear était devenu l’un des meilleurs éléments de sa catégorie, et seulement 2 ans plus tard, il quitta le cursus d’apprentissage pour devenir lui-même enquêteur. Il fut placer à la tête d’une unité de 5 hommes, lui comprit, et résout au cours de années suivantes des dizaines d’affaires plus sordides les unes que les autres. Mais l’année de ses 30 ans, la plus sombre de toute sa carrière bouleversa à nouveau sa vie.
Voilà des semaines que ses crises d’épilepsie avaient reprises, et comme s’il s’agissait d’un présage, une chose horrible arriva.
George était mort, il avait été tué lors d’une nuit où il enquêtait sur les lieux d’un attentat. Le tueur fut nommé les jours suivants « L’Artiste » par la presse et la police. Le meurtre fut sanglant, mais la mise en scène élégante. C’est ce qui choqua le plus les enquêteurs qui furent chargés de l’affaire, dont Lawrence faisait parti. L’Artiste était un serial killer dont la carrière venait de débuter. Il fut nommé ainsi en raison des esquisses particulièrement bien faites qu’il laissait sur les lieux du crime, y dissimulant des indices pour narguer la police, qui ne réussit jamais à l’interpellé. Un professionnel du crime que Lawrence se jura d’attraper, d’arrêter ou de tuer, en mémoire de son vieil ami.

Les années passèrent, les crises de Lawrence continuaient, et l’Artiste continuait sa sombre fresque de meurtres, s’établissant dans un large périmètre à l’Est des Etats-Unis. Lawrence avait suivi, avec son unité, les indices que disséminait l’Artiste dans ses dessins, en espérant toujours pouvoir le prendre à son propre jeu. Mais jamais ils ne réussirent à mettre un nom sur son visage alors que les cadavres continuaient de pleuvoir. Le tracé des meurtres, correspondant aux mouvements du serial killer, les menèrent à Manhattan à la fin des années 2000.
C’est là qu’il la rencontra. Marion Roussau, une française. Au service criminologie de la NYPD établie à Manhattan, alors qu’il consultait des dossiers de sa section. La jeune femme, 10 ans plus jeune que lui, était criminologue experte et venait d’être chargée du dossier de l'Artiste, en collaboration avec Lawrence. Une étroite relation s’établie alors entre elle et lui, tendit qu’elle aidait son équipe à déjouer les pièges du tueur.
Au bout d’une année seulement, une première réussite ressortit de leur collaboration. Un meurtre avait été empêché ! Lors d’une nuit d’Hiver, Lawrence et son équipe s’était rendus sur les lieux présumés du prochain meurtre, alors qu’ils avaient efficacement déduit le précédent indice laissé par l’Artiste. Dans un immense Opéra en plein cœur de Manhattan, vers minuit, une jeune femme hurlait, prise au piège dans une cage d’acier. Lawrence était le premier à l’avoir trouvé, alors que le reste de son équipe s’était égaré dans les immenses locaux de l’établissement. Cette dispersion non voulue lui valut une confrontation directe avec le meurtrier. Cette nuit-là, alors qu’il lui tournait le dos sans s’être aperçut de sa présence, Lawrence se vit à plusieurs reprises frappé au visage et rué de coups une fois à terre. La jeune femme prisonnière vit tout de cette déferlante de haine, mais perdit connaissance au même moment que Lawrence, alors que le tueur fou lui asséna à elle aussi un coup de couteau dans le ventre. L’équipe arriva à temps pour sauver leur chef et la jeune femme, bien que plus aucune trace de l’Artiste ne persista.

Cette avancée spectaculaire dans l’Affaire de The Artsit lui valut une promotion. Il entra dans la NYPD en tant qu’Inspecteur en 2008.
Depuis cette nuit à l’Opéra, plus aucun meurtre ne fut commis par l’Artiste, mais les crises de Lawrence, alors lui semblant des présages, continuaient … C’est Marion qui apaisa ses peines et ses angoisses, alors qu’ils se marièrent en 2009. Lawrence, alors inspecteur, marié et épanoui, se sentait heureux pour la première fois de sa vie.
Mais c’était contraire aux règles qui avaient jusque-là contrôlées sa vie … Ces règles qu’on regroupe en un terme générique : le malheur. Car cette même années 2009, alors que l’on fêtait l’anniversaire du sauvetage de June Brown et la défaite de l’Artiste, Marion mourra. Le tueur avait attendu un an avant de refaire surface et se venger de cette nuit à l’Opéra. Cette fois-ci, il avait assassiné la jeune femme au domicile conjugale, lors d’une absence de Lawrence, parti chercher un dîner chinois à l’autre bout de la ville, pour faire plaisir à sa femme. Jamais un meurtre ne fut aussi sanglant. Marion était méconnaissable, son corps ravagé par une multitude de blessures à l’arme blanche, trempée par son propre sang pourpre et ruisselant. Lawrence ne s’en remettra jamais.

Les meurtres reprirent, et Lawrence fut officiellement démit de l’affaire. Le meurtre de Marion était un acte de vengeance mais aussi de menace à son encontre, lui qui avait un an auparavant ridiculisé le tueur aux esquisses. Son chef de section lui interdit l’enquête, et lui fit changer d’équipe, alors que ses derniers manifestaient l’envie de suivre Lawrence dans son désir de vengeance. Ils furent tous mutés aux quatre coins de New York, assénant un nouveau coup au moral déjà brisé de Lawrence, qui fut alors chargé des enquêtes les plus basses, parfois demandé ailleurs, là où ça pétait trop et où l’expérience des plus jeunes ne suffisait plus.
Les 2 ans qui suivirent furent agrémentés pour Lawrence d’une longue dépression nerveuse, et d’un penchant prononcé pour l’alcool, alors qu’il tentait d’y noyé ses démons. Il avait tout perdu, mais pas l’envie de survivre. La seule chose qui le rattachait encore à la vie était son désir de vengeance, alors qu’il jura à la télévision de retrouver l’Artiste et de lui faire payer.
Aujourd’hui Lawrence Fear, bien qu’Inspecteur et respecté par les hommes de sa section, ne vit plus que pour semer le chaos sur son passage. A plusieurs reprises son État-major dut le couvrir alors qu’il commettait fautes sur fautes lors de ses missions. Mais ses méthodes peu orthodoxes ne donnaient pas de raison à ses supérieurs de le renvoyer de la police ; car sa réputation ainsi forgée le rendait craint par la plupart des voyous de Manhattan. Il faisait peur, voilà ce qui le garda dans la NYPD.

Spécialité : Maniement d’armes de poing et Interrogatoire.

Appartenance


Groupe souhaité : NYPD, comme Inspecteur. Détective à ses heures, au service d'organisations diverses, voire de particuliers.

Adhésion depuis : 5 ans, bien qu'il travailla dans les services de l'ordre pendant plus de trente ans.

Signature


Lien vers un gif représentant le personnage: (Par ici)
Une courte phrase/devise représentant votre personnage : Dieu est un fils de pute. Un jour, je le tuerais.
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http://ombreciel.forumactif.org/
Headhunter
Chasseur de Tête
Chasseur de Tête
Headhunter
Age : 54


Lawrence Fear - NYPD _
MessageSujet: Re: Lawrence Fear - NYPD   Lawrence Fear - NYPD Icon_minitimeDim 29 Sep - 15:09

[HRP]

Mentionnons cet inspecteur qui officie de temps à autre en tant que détective. Son caractère et son comportement ne manqueront pas d'attirer l'attention et les ennuis. Il se fera donc encore souvent remarquer dans Manhattan. Sa réputation le précédant, nous pouvons être sûr d'entendre à nouveau parler de lui fréquemment...

En attendant, moi, le Chasseur de Tête, n'ai rien à lui proposer de mieux que sa carrière actuelle, déjà bien avancée !

[Tu es validé dans le groupe NYPD. Actuellement aucune agence secrète n'a de vue sur toi. Mais cette situation, comme nous le savons maintenant, peut très bien changer. Une mauvaise rencontre, un acte impulsif et impardonnable,... Bref, personne n'est jamais à l'abri.

En attendant, je t'invite à choisir un code couleur avant de te lancer dans le rp !

Je te souhaite bonne route et bon jeu !]
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